Cinq idées reçues sur le remplacement médical passées au crible. Non, il ne faut pas forcément avoir un réseau, ni sacrifier ses revenus ou sa stabilité. Découvrez pourquoi ces clichés sont dépassés.
Remplacer, c'est souvent vu comme un "plan B" pour les jeunes médecins. Ou en tous cas comme quelque chose de peu flatteur. On met en avant le côté mercenaire, très pécunier et on oublie la réalité : c’est un super moyen de découvrir des établissements, de gagner plus quand on est interne et parfois de voyager.
Décryptage de 5 idées fausses qui freinent encore trop de médecins... alors qu'elles ne tiennent pas la route.
❌ Faux.
Longtemps, trouver un remplacement reposait sur le bouche-à-oreille ou les petites annonces. Mais ce temps est révolu. Aujourd'hui, 3 missions sur 4 sont trouvées sans réseau, grâce à des plateformes comme Hoppi.
Dès votre premier mois de licence, vous pouvez recevoir des propositions de missions ciblées, adaptées à votre profil et à votre géolocalisation. Sans piston, sans stress, et pas seulement dans la ville où vous avez fait votre internat.
Pas faux, ❌ mais...
Oui, les patients sont souvent attachés à leur médecin traitant. Mais ils savent aussi que celui-ci a besoin de prendre des vacances, de souffler, de se former. Et dans ces moments-là, ils veulent une chose : être soignés.
Les remplaçants, bien présentés et intégrés, sont très bien acceptés. Les patients se déclarent globalement satisfaits après une consultation avec un remplaçant.
Et comme la durée moyenne d'un remplacement est de quelques jours, la transition se passe généralement sans heurt.
❌ Faux.
Ce mythe vient surtout du flou qui entoure les revenus des libéraux. En réalité, un remplaçant bien organisé peut très bien gagner sa vie :
C'est souvent plus qu'en salarié, et avec la liberté de choisir ses missions, ses horaires, son planning.
On a d’ailleurs écrit un article dessus.
C'était vrai. Aujourd'hui, ❌ c'est faux.
Avant, il fallait gérer la paperasse, les contrats, les déclarations à l'Ordre, les rétrocessions... Un vrai casse-tête.
Aujourd'hui, des outils comme Hoppi digitalisent tout. En moins de 24h, selon la réactivité des personnes concernées, le contrat est généré et la paye validée.
❌Faux.
Beaucoup de jeunes médecins pensent remplacer "le temps de trouver leur cabinet". Mais une fois testé, le mode de vie remplaçant convainc souvent sur le long terme :
Certains choisissent de remplacer pendant 5, 10 ans ou plus, à raison de 3 ou 4 jours par semaine. Et ne reviendraient en arrière pour rien au monde.
Le remplacement médical souffre encore de vieux clichés. Mais les chiffres, les retours de terrain et les outils modernes montrent une toute autre réalité :
Aujourd'hui, vous avez toutes les cartes en main pour vous lancer sereinement et explorer toutes les possibilités de ce format de travail.
Programmons un échange ensemble ou inscrivez-vous en toute autonomie sur Hoppi !